Samedi 15 octobre après-midi, le Centre Culturel Autogéré de Nancy (CCAN) était ouvert pour se présenter à travers ses membres et une exposition revenant sur plus de quatre ans d’existence.
Vie politicienne locale
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3Maisons : six mois de lutte, six mois de langue de bois
Début 2016, la mairie faisait savoir que les conventions liant les artistes occupant une partie de l’ancienne école du 14, rue de Fontenoy et la MJC des Trois Maisons ne devaient pas être reconduites pour plus d’un an. L’équipe municipale faisait ainsi connaître son intention de céder à plus ou moins court terme ce bâtiment qui abrite aussi nombre d’activités de la MJC, qu’il s’agisse d’activités régulières comme les cours de judo, tai chi, flamenco, cirque et théâtre (notamment avec des publics empêchés : PJJ, OHS), etc., ou ponctuelles, comme l’accueil des enfants le mercredi et pendant les vacances ou des troupes de spectacle vivant en phase de création.
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Fin de partie
Bientôt il faudra lâcher le pouvoir. Il faudra changer de disquette et faire un peu d’opposition, non sans avoir pris quelques vacances bien méritées.
Mais d’ici là, il faut bien s’occuper… -
À Nancy, on rase gratis...
Surtout les bâtiments sympas : piscine découverte, jardin et école des Trois Maisons, écuries du musée…
En dehors de quelques grandes manifestations à haute valeur politique ajoutée et haute visibilité médiatique comme Le Livre sur la Place, la mairie de Nancy n’est pas vraiment amie des arts et de la culture, et encore moins sensible à l’aspect social ou humain des choses. -
Qui veut noyer sa rage... accuse son voisin (proverbe grosgnonesque)
Ville à vendre !
Après avoir mis en vente le palais des congrès, la mairie de quartier des Trois-Maisons, etc., Hénart continue à dilapider les bijoux de famille. Prochaine sur la liste, (...) -
Fac off...
Le 19 avril dernier, s’est déroulé à Nancy un événement assez plaisant et qui pourrait donner des idées…
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Le nom du non !
Soixante experts alsaco-champenois-lorrains, tirés au sort (!), ont planché pendant des heures et des jours en petit comité. De leurs historiques-touristiques-économiques réflexions, ils proposèrent à leurs quelque cinq millions de concitoyens trois noms de baptême à la nouvelle grande région : « Nouvelle Austrasie », « Acalie » et « Rhin-Champagne », éliminant puis rattrapant « Grand Est », excluant définitivement « Île d’Europe », « Marche de l’Est », « Estrie »