Nous en parlions dans cet article intitulé "Alors ? Ça va mieux au CHRU de Nancy ?" le bâtiment Philippe Canton (C’est le bâtiment dédié aux hospits COVID) se fissure un peu partout. Les premières sont apparues dès août 2017.
Services publics
-
-
De la grenaille pour l’éducation
Blanquer a annoncé dans le JDD le lancement d’un "Grenelle des professeurs" pour revaloriser le salaire des enseignant·e·s et leurs conditions de travail. La bonne blague. Le même Blanquer qui n’a répondu au suicide de Christine Renon et de tant d’autres qu’en enfonçant le clou de sa politique rétrograde. Celui là. Et il va pondre quoi cette fois ?
-
Alors ? Ça va mieux au CHRU de Nancy ?
Maintenant qu’on nous annonce une seconde vague venant avec l’automne, on peut espérer que tout va mieux et que l’hôpital est prêt ?
-
Mobilisation nationale pour l’hôpital, second round
Le 16 juin, nous étions des dizaines de milliers partout en France pour réclamer plus de moyens, plus de postes, et de meilleurs salaires pour l’Hôpital Public. L’acte 2, c’est le 30 juin !!
-
Retour en photo sur la mobilisation du secteur de la santé ce 16 juin à Nancy
Plusieurs rendez-vous ont eu lieu sur Nancy avec un point commun : réclamer plus de moyens pour celles et ceux qui nous ont soigné-e-s et qui veulent continuer à le faire.
-
Mobilisation nationale pour l’hôpital le 16 juin : les rendez-vous à Nancy
Nous les avons applaudi·es, nous pouvons faire plus ! Le personnel soignant nous invite à descendre avec elleux dans la rue.
-
« Bas les masques ! » : manifestation samedi 16 mai à Nancy
Un appel du collectif national « Bas les masques » circule, nous invitant à sortir nos banderoles et à manifester le samedi 16 mai partout en France. À Nancy, le rendez-vous est fixé à 15h30, place Carnot, pour soutenir les revendications des hospitaliers, demander plus de moyens humains et plus de lits !
- le 16 mai 2020. Précisions importantes
Mise à jour :
-
Meurtres et mensonges d’État : la police française a tué au moins 12 personnes durant le confinement
À la fin de ce confinement, c’est 12 personnes qui sont mortes à cause de la police. À ce rythme, personne ne peut continuer à parler de bavures isolées. Ils s’agit de meurtres systémiques validés par l’État français.
-
Interview d’une cortège de fenêtre importunée par la police
En cette période de confinement, l’expression sur l’espace public et l’affichage militant et politique dérangent. Il y a bien là un enjeu de visualisation d’un message politique que l’État aimerait faire disparaître.
-
Épidémie de cortèges de fenêtres !
Un premier aperçu des banderoles qui fleurissent sur les balcons en ces jours printaniers.
- le 5 mai 2020. Des nouvelles banderoles sur Strasbourg et Nancy
Mise à jour :