Deux semaines plus tôt, à Nancy toujours, la manifestation régionale des GJ était encore une fois violemment réprimée et une personne s’est faite matraquer au visage simplement pour avoir demandé à voir le numéro identifiant un policier.
Le rassemblement a commencé par un discours clair, dénonçant l’état d’urgence permanent entraînant petit à petit une militarisation de la police et de la répression de tout mouvement social tel que celui des GJ.
Il n’a pas été oublié non plus de dénoncer cette violence présente dans les quartiers populaires et sur les ZAD, les noms d’Adama Traoré et de Rémi Fraisse ont ainsi été énoncés.
Les personnes présentes ont ensuite respecté une minute de silence qui s’est achevée par le passage de la semaine sanglante au mégaphone.
https://www.youtube.com/watch?v=djuLvrGSFiI
On pouvait voir dans ce rassemblement beaucoup d’échanges entre les gens, les distributions de tracts appelant à participer à Vent de Bure répondaient aux invitations à venir en manifestation les samedis.
Compléments d'info à l'article