Le syndicaliste, co-porte-parole de Solidaires 54, a ainsi vu trois agents venir chez lui mardi18 matin pour une convocation au commissariat. En cause : le débordement sur la voie du tram au cours du rassemblement aux flambeaux du 31 janvier. On nage en plein délire...
Jeudi 20 février, c’est un lycéen participant à la manifestation appelée par l’intersyndicale qui s’est fait embarquer, mettre en cellule, forcer à déverrouiller son téléphone... sans qu’on lui donne un quelconque motif. Son témoignage vidéo est édifiant. On peut l’entendre ici (lien facebook)
Alors que se passe-t-il ? Le préfet Freysselinard espère-t-il que la colère s’apaisera en faisant peur aux manifestant·es ? Cela risque pourtant bien de produire l’effet inverse...
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