Une averse nucléaire a provoqué une poussée de nouveaux champignons partout dans les métropoles, et Toulouse fait du zèle. Ni raison économique, ni transition dite « écologique » ne peut justifier ni le carnage social ni la destruction de l’air et des eaux.
Que les marchés s’assèchent plutôt que les rivières, que chantent les oiseaux et que les experts de la gouvernance se taisent enfin.
Comité contre le foutage de gueule (CCFG)
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