C’est par téléphone que M. Mutzenhardt a posé son ultimatum : soit les étudiant·e·s débloquent, soit il dépose plainte nommément contre certain·e·s d’entre elleux et envoie la police les déloger.
Dans tous les cas les étudiant·e·s en lutte prennent note des nouvelles menaces du président de l’université. En effet, toujours par le biais de personnes syndiquées non représentantes du mouvement étudiant, M. Mutzenhardt a fait savoir que les plaintes nominatives seraient retirées si l’occupation des étudiant·e·s en lutte prenait fin.
Les étudiant·e·s condamnent fermement la conduite de M. Mutzenhardt qui, ne se contentant plus d’avancer des informations falsifiées, utilise le chantage et les menaces en guise de dialogue.
Contre la sélection, les menaces et les pressions, il·le·s ont décidé de rester solidaires !
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