Venu-e-s de tous les départements de la région, les participant-e-s entendaient alerter sur la souffrance au travail, la dégradation de l’offre de soins, le manque de personnel ou encore les fermetures de lits dans les hôpitaux.
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Après plusieurs prises de parole faisant un constat alarmant sur la situation, tout le monde est parti en manifestation vers la préfecture place Stanislas.
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Les retours sont ceux d’une première journée plutôt encourageante pour la suite.
Il manquait, comme à leur habitude, les syndicat plus réformistes comme la CFDT ou l’UNSA, qui ont quant à eux prévu une journée de mobilisation, sans grève, le 27 septembre. Mais la date qui revenait souvent à la bouche des manifestant-e-s était celle du 29 septembre prochain, journée de grève intersyndicale, générale et nationale.
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