Jetés à même le sol, les gens y survivent dans des tentes sur des matelas trempés d’eaux usées. Ils sont près de 500 dont plus de cent enfants, des femmes enceintes, des bébés et des adultes malades. À force de se répéter, cette situation finira-t-elle par se banaliser ? Cette société où le minimum vital est concédé aux uns et refusé aux autres est-elle tenable ?
Pour répondre oui, il faut être un peu fasciste, ou un peu « pragmatique ».
Sinon, on s’insurge.
C’est ce à quoi nous vous appelons, individuellement ou collectivement. Agir contre l’horreur.
Notre objectif est de lancer très vite, pour samedi 9 septembre à 14h, colonne de Merten, une manifestation mettant les pouvoirs publics et les élus au pied du mur. Cette action, nous la voulons forte, unitaire et diverse dans son expression.
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