Dimanche 10 mars // Permanence de la bibliothèque Marsha P. Johnson

Strasbourg (67) |

14h à 18h : Viens découvrir les nouveautés de la bibli ! Ce mois-ci, on a reçu le très beau zine Nos mondes queer du collectif Queermaginaires et Iskis.

« Les mondes imaginaires restent encore largement cis, hétéro et amatonormés. On réinvente plus facilement la technologie que la famille ou les relations sociales, dans les romans comme dans les mentalités. Pourtant, de fait, nombre de personnes queer doivent inventer leur façon de fonctionner en société. Ce zine ouvert à tous les types de textes a pour but de rassembler ces savoirs et ces rêves et de les diffuser »

Tu peux en profiter pour emprunter et rendre des livres mais aussi échanger autour de tes coups de cœur (romans, BD, essais…), et profiter à fond de notre super riche zinothèque sur les questions féministes, queers, décoloniales et anarchistes ! On profitera de cette permanence pour avancer sur nos différents projets créatifs, n’hésite pas à te joindre à nous, c’est toujours plus motivant à plusieurs !!

PNG - 312.4 ko

AUTOGÉRÉE, FÉMINISTE, QUEER, ANTIRACISTE

Parce que les ressources féministes, queers et antiracistes sont rares, tu trouveras à la bibliothèque Marsha P. Johnson des livres, des zines, des DVD à emprunter, ou encore des trucs DIY à prix libre et un freeshop.

C’est un espace de rencontre, d’échange et de solidarité, un espace où trouver de la force, où nourrir tes rages, tes luttes et tes désirs.

  • Adhésion à la bibliothèque nécessaire pour emprunter (à prix libre)
  • Zines, nourritures et objets DIY à prix libre
  • Ouverture les 2èmes dimanche du mois de 14h à 18h (vérifier sur l’agenda)
  • Accessibilité limitée (escaliers et porte extérieure étroite), nous contacter par mail pour plus d’infos

Mixité : les activités de la Pigeonne sont ouvertes à toutes les personnes qui ont besoin d’un espace anarchiste, queer, TPG, féministe et antiraciste à Strasbourg. On ne veut pas dire « exclusivement pour les personnes queers et en questionnement » parce que certaines personnes ne savent simplement pas où elles en sont ou n’osent pas encore se dire en questionnement et on ne veut pas qu’elles se sentent exclues ou en position de devoir prouver quoique ce soit.