Le directeur général du CHRU de Nancy, Bernard Dupont, vient d’être décoré de la légion d’honneur sur proposition du ministre de la Santé pour avoir rétabli les finances du CHRU. On comprend alors que l’aspect social des mesures appliquées n’a pas compté.

Après la mobilisation du 7 décembre dernier, ce mardi 11 janvier marquait une nouvelle journée de grève et d’action dans la santé et le social pour demander une nouvelle fois plus de moyens, de postes et de salaires dans des secteurs touchés profondément par les politiques libérales des gouvernements successifs.

Malgré une mobilisation très forte du personnel en juin, l’été et la trahison de la CFDT ont eu raison du mouvement qui aurait pourtant pu stopper la direction et ses réformes demandant toujours moins de personnels et de lits dans un hôpital déjà en bien piteux état.

Ce jeudi 23 septembre, vers 7h du matin, à l’appel du Comité de défense pour le maintien des 14 RTT, une centaine de personnels support du CHRU se sont installé-e-s devant les portes de l’hôpital de Brabois pour continuer à faire entendre leur colère face aux décisions de la direction.

Ce jeudi 1^er juillet, les ambulancier·e·s du CHRU de Nancy se sont rassemblé·e·s devant l’ARS pour protester car iles sont, comme d’autres, les grand·e·s oublié·e·s du SEGUR de la santé.

La direction du CHRU de Nancy a le projet de supprimer dès janvier 2022 14 RTT aux agents de catégorie C des services techniques et administratifs.

On n’avait pas vu une telle mobilisation depuis longtemps : les cafétérias totalement arrêtées, des ateliers presque déserts avec seulement quelques chefs et personnels assignés, et une manifestation réunissant 500 à 600 personnes. Le projet de la direction ne passe vraiment pas.

La lutte continue pour les agent·e·s "support", à qui la direction veut supprimer les RTT.

En mars le ministre de la santé était tout fier d’annoncer un super plan pour le CHRU de Nancy. Les capitalistes auraient appris de la crise ? En vrai, il en est quoi ?

Ce jeudi 21 janvier 2021, le secteur de la santé était en grève. Un rassemblement devant l’Agence Régionale de Santé à Nancy était organisé, et ce quelques jours après la visite du ministre de la santé au CHRU.

La seconde vague est là, un peu partout en France des couvre-feux sont mis en place avec comme objectif affiché d’éviter la propagation du virus et ainsi d’éviter un engorgement des services d’urgences et de réanimation.
A Nancy le Niveau 1 du dispositif "Hôpital en Tension" a été déclenché mardi 20 octobre dans plusieurs secteurs. Pour autant il n’y a pas eu d’investissements, de recrutements ou d’ouvertures de lits pérennes pour faire face.

Maintenant qu’on nous annonce une seconde vague venant avec l’automne, on peut espérer que tout va mieux et que l’hôpital est prêt ?

Plusieurs rendez-vous ont eu lieu sur Nancy avec un point commun : réclamer plus de moyens pour celles et ceux qui nous ont soigné-e-s et qui veulent continuer à le faire.

Ce mardi 30 juin avait lieu une nouvelle journée de mobilisation en soutien aux hospitalier·es. Nous étions un peu moins nombreux·se que le 16 juin, bien que l’appel fût régional. Il devient crucial d’intensifier encore plus la mobilisation afin de faire remballer la politique de fermetures de lits et de suppressions d’emplois des managers de la santé publique.

En pleine épidémie de COVID-19, cette interview nous permet de faire le point sur ce qu’il se passe au CHRU de Nancy.

Alors que la direction de l’hôpital se félicite d’avoir obtenu un accord aux urgences, ce sont maintenant les blocs opératoires qui se mobilisent.

Ce mardi matin du 2 juillet, l’appel de la CGT de SUD et de FO, les urgentistes du CHRU de Nancy se sont mobilisés. En grève illimitée depuis le 6 juin, ils ont rencontré la direction pour faire part de leurs revendications et pour dénoncer leurs conditions de travail, les effets désastreux des fermetures de lits et de la diminution du nombre de postes.

Le mouvement de grève aux urgences a commencé le 18 mars à l’AP-HP. Plus de 80 services d’urgences sont en grève organisés par le collectif Inter-Urgences et soutenus par les syndicats CGT, SUD et FO.
A Nancy le mouvement commence. Pourquoi se bat le personnel hospitalier ?

Depuis ce mardi matin les urgences du CHRU de Nancy sont en grève illimitée. Ce mouvement de grève local rejoint le mot d’ordre national.

On en est maintenant à 105 services d’urgence en grève sur l’ensemble du territoire français.
105 services qui crient leur souffrance au travail faute de personnel. A Nancy, la grève illimitée a démarré le 11 juin et maintenant les politiques, ministre et maire de Nancy proposent des solutions, mais sont-elles à la hauteur ?

Lundi 22 octobre 2018 à 10h le directeur de l’Agence Régionale de Santé (ARS) rencontrera les députés et sénateurs de Meurthe-et-Moselle pour aborder la situation de l’hôpital. Les syndicats appellent à la mobilisation pour faire pression.

Ce lundi 22 octobre une centaine de personnes s’est réunie devant l’Agence Régionale de Santé pour réclamer de l’argent et des emplois afin de pouvoir faire fonctionner correctement le CHRU de Nancy.

Premier jour de mobilisation au CHRU de Nancy suite à l’annonce début juillet de nouvelles demandes de suppressions de 400 postes alors que les aides promises par l’État dans le cadre du COPERMO en début d’année ne sont toujours pas arrivées.

Dans une motion datée du 17 septembre la CME (Commission Médicale d’Établissement) du CHRU de Nancy donne son positionnement face aux difficultés rencontrées par l’hôpital et les sacrifices demandés par l’État au début de l’été.

Ce lundi a été confirmée une nouvelle suppression de postes au CHRU de Nancy, 400 selon les premiers chiffres.
Cette mauvaise nouvelle, une de plus, intervient alors que les aides promises par l’Etat dans le cadre du COPERMO en début d’année ne sont toujours pas arrivées, la commission qui doit valider les 120 M€ d’aides étant de nouveau repoussée à octobre ou novembre.

Dominique Potier, le député de la 5e circonscription à annoncé fin mars que le site de l’hôpital Jeanne d’Arc de Dommartin-lès-Toul, laissé à l’abandon après le départ de ce dernier, verra accueillir le troisième établissement pénitentiaire sur l’agglomération Touloise.

Les agents de tous les secteurs du CHRU de Nancy sont appelés à la grève mardi 7 mars, avec en point culminant une manifestation en tenue de travail devant l’ARS Lorraine à 14h.

Un préavis de grève est déposé pour le 8 novembre au CHRU de Nancy afin de lutter contre les restructurations, la fermeture de lits et de services et la suppression de postes qui vont avec, les heures supplémentaires qui s’accumulent ainsi que la multiplication du nombre de contrats précaires. Un rassemblement est prévu à 13h30 devant l’Agence Régionale de Santé.