On y trouvait des fonctionnaires, des retraité-e-s, des Gilets Jaunes ainsi que des étudiant-e-s, chacun-ne avec ses revendications mais convergeant pour les imposer au gouvernement.

On remarquera l’absence de cortège anti-autoritaire, heureusement que certain-ne-s étudiant-e-s avaient eu la bonne idée de venir avec une banderole plutôt sympathique et de la mettre en tête de leur cortège.

Il y avait une forte présence policière, certain armés de fusils d’assaut, rendant l’arrivée de la manifestation plutôt anxiogène.

Le parcours ne finira même pas place Stanislas qui sera inaccessible à cause, paraît-il, du Père-Cent des lycéen-ne-s. Il est d’ailleurs probable que la préfecture redoutait plus les lycéen-ne-s déguisé-e-s en Pokemon que le cortège plan-plan encadré par les organisations syndicales.

Pour résumer, la mobilisation n’était pas ridicule mais elle manquait énormément du fun que l’on peut retrouver chaque samedi avec les Gilets Jaunes.

Rien de grave, on fera mieux la prochaine fois !